Chemin de Saosang

Le chemin qui mène à la montagne de Saosang, en hommage au célèbre astronome qui, du haut de la montagne, a lu dans les astres le signes énonianteurs de l'insurection des démons sur Terre. Pris un premier temps pour un fou, ses prophéties ne cessèrent de tomber juste, l'amenant juste devant l'Empereur.
Il persuada ce dernier de prendre le mesures adéuates pour que le monde ne puisse souffrir d'une telle catastrophe. Eu lieu ensuite la célèbre bataille entres les élus et les infernaux, et les répercussions causé dans la force de la Nature, qui furent heuresuiement amoindris par le mesures impériales.

L'hsitoire montra qu'en reconnaissance, Saosang devint une des plus grandes éminences grises de l'Emepreur, et la montagne où il appris la prophétie lui fut légué et statué comme sacré.

Le site est paisible et chargé de symbole et de quiétude, malgré le fait que des maraudeurs trainent dans les environs, l'aspect sacré de la montagne ayant été quelque peu délaissé depuis le sacre du Shogun.
On raconte même que les instruments qui servirent à Saosang de lire dans les sétoiles sont restés en ces lieux. Mais personne n'a encoire réussi à les trouver.







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Mission: collaboration forcée

Oho! Cela m'a l'air d'être un site fort sympathique. Ca respire le zen et la plénitude à vue de nez, si je puis dire. C'est dommage que Kumo ne soit pas là, cette fois mais il doit rester s'entrainer avec des camarades rebelles. Je l'emmenerai refaire communion avec la nature ici un de ses jours.

Kabuki était réellement enthousiasmé d'être aussi proche de ce lieu de légende. On a du mal à croire que la zone était sous la coupe de bandit sanguinaire, mais qu'à celà ne tienne!

Ouais! Qu'à cela ne tienne! Kabuki Danjuro, le héros redorera le blason de la légende de Saosang est sur place avec son intriguante et féline compagne Yoko! Alors, au fait; tu trouve le coin comment? N'est-ce pas un cadre rêvé pour un homme et une femme ensemble evant accomplir de noble desseins?

Insistait-il avec arrivisme et joie non dissimulé. Avec son paquetage sur le dos, Kabuki était fin pret à prendre la route et avait hâte de rejoindre le refuge.

Allez, pour plus de sureté, je passe devant. Ne faisons pas refroidir plus longtemps nos ardentes intentions en restant sur place! En route!

Et il s'executa.

Après deux jours de marche forcée, la patrouille arriva enfin sur les chemins de Saosang. Les discutions, qui étaient allée de bon train pendant le voyage, commencèrent à se rarifier. En effet, la splendeur de la région accaparait l'esprit de chacun. Il fallu que Keishiro menace d'en découper un ou deux pour qu'ils se remettent en route. Ils n'étaient pas là pour admirer le paysage quand même.
Ils profitèrent que le soleil était encore haut pour commencer à s'enfoncer dans la contrée. En effet, la région était magnifique. Keishiro se reprit plusieurs fois à observer les magnifiques paysages variés. Mais le soleil commencait lui à se coucher.

Bon on va dresser le campement ici. Décidez vous pour les tour de gardes, mais sans moi.

Ceci dit, il se percha dans un arbre, acrocha son sac à coté de lui, et en sortit quelques sushis et une outre d'eau, pour se rassasier.

Fubuki suivait de peu. Il debattait sur la capacité de reflexion et de combat des ours avec un autre soldat qui semblait un peu perdu. Fubuki abandonna sa discussion pour admirer le paysage. Tout semblait calme. Le chemin etait suffisamment long pour qu'il puisse se détendre. Une patrouille sans problemes en perspective...

*Saosang semblait plutot doué pour amener le calme. Même apres sa mort...*

En effet, un tel paysage ne pouvait que rester sans voix. Keishiro se chargeait de faire avancer le groupe et donner les instructions... Au crepuscule, ils commencerent a monter le campement. Fubuki planta ses deux sabres et proposa de jouer les tours de garde aux dés. Curieusement, le samourai put dormir tranquillement jusqu'au dernier our de garde...

Kabuki, qui avait déjà pas mal grimpé sur la montagne, en plein admiration devant le paysage et à la recherche d'un coin tranquille pour lui et Yoko, pris l'initiative, après avoir senti que le vent soufflait bien fort, de ce posté du haut d'un arbre.

Se tenant en parfait équilibre sur la cime, il ouvrit son parapluie et actionna la rotation, en en profita pour prendre encore plus d'altitude. Il pouvait alors plonger son regard dans les flancs des monts avoisinant le grand lac, et aussi observé quelques gravas de bois qui devait constitué une maison.

*Eh! Mais ce serai pas le supposé refuge qu'on devait prendre? Attend...*

Il aperçu alors, plus en hauteur encore, sur un versant opposé mais pas très éloignés, due à la formation en forme d'entonnoir du renfoncement montagneux où il était situé, une autre maisonnette toute faite de pierre.

*Ah, voilà qui doit être notre refuge!*
Yoko! Part en éclaireur grimpé sur le versant opposé! Notre refuge s'y trouve là bas! Je continue d'observer un peu.

A ces mots, il continua son observation aérienne, quand il vit un feux de camps plusieurs mètres plus bas, pas trop loin du versant opposé.

*Hmmm, alors réfléchissons:
a) ce sont des braconnier et je leur demanderai de leur présenter leur s permis ainsi que leur prise.
b)ce sont des bandits et je leur pète la gueule à coup de nouvelle technique issu de mon génie et savoir-faire
c)Ce sont des voyageurs et je vais leur demander de me suivre se mettre à l'abri car 'endroit n'est pas sûr.
d) ce sont des voyageuses, houba-houba, Yoko attendra, et ensuite je les ramène au refuge.
e)je tombe sur une vieille qui me dit qu'elle savait que je viendrais ici, que je suis l'élu, qu'elle me raconte la vérité sur ce monde et ça me ferai bien jubiler.*

Tout le monde descend!

Kabuki referma alors son parapluie un instant pour tomber vers le campement. il en profita, sans aucune raison, pour effectuer différentes chorégraphies pendant sa chute, histoire de se dire qu'il est à l'aise dans les airs, et le rouvrit pour retomber dans le campement, juste sur les épaules du soldat qui accompagnait le petit groupe, sans que celui-çi ne lui ai compris ce qui arrive.

Sur un ton ferme, droit debout sur les épaules du soldat (et il compte pas en descendre avant que cela le gave), il tonna:
Alors, quel est la réponse? A, B, C, D ou E?
Enfin, je veux dire...salutations, amis de la montagne. Que faites vous en lieu propice au maraudage. Voulez-vous que je vous conduise à un gite aménagé? pour passer la nuit?
(Et avez vous une vieille dame qui fait des prophéties avec vous, aussi?)

Keishiro ouvrit un oeil. Il vit une sorte de clown, perché sur les épaule d'un des soldats. Il l'observa un moment, méfiant. Que faisait un homme seul dans cette région, qui est pourtant réputée pour ne pas être très sûre. Pas normal. Il fit signe à fubuki de se tenir pret, et descendit de la brnahce où il s'était perché. Il toisa le nouveau le nouveau venu. Il décida de lui mentir pour le moment.

Nous sommes des mercenaires. On est en route pour rejoindre une caravane de commercants à Hossu. Et toi, que fait-tu dans ces lieux seuls. Il est de notoriété que cette région n'est pas très sûre, surtout pour un homme seul.

Il s'apercu que le soldat qui devait suporter le poid de l'homme commencait à fatiguer. Il soupira.

Et descend de là. Je n'ai pas envie de trainer des hommes crevé parce que tu as decidé de faire le guignol équilibriste sur les épaules de quelqu'un. Sinon c'est moi qui te fait descendre, et pas amicalement, si tu vois ce que je veux dire.

Il croisa ses mains dans ses manches, et saisit les poignées de ses sabres. On aurait put croire qu'il n'était pas armé, alors qu'il était pret à degainer.

Tu me laisse incrédule, je ne savais pas mon disciple ours sera fort à ce point...en même temps, je suppose que c'est le seul ours au monde à faire des arts martiaux...enfin bon...

Kabuki remarqua que son acceuil était bien froid et ces nomades peu de bon alloi...surtout le prophète, ce qu'il trouva bien déplaisant. Mais peut-être qu'en se présent, il changerons de comportement.

Il était clair que vous n'étiez pas des bandits, sinon vous vous serez mieux caché que ça et vous n'aurez pas une escorte comme le gars sur qui je me trouve debout. Tant mieux si vous comptiez allez à Hossu. Au moins vous êtes pas des sbires du Shogunat, on pourra s'entendre.

Quand à moi, je suis l'illustre Kabuki Danjuro, le saltimbanque magnifique, et pas que équilibriste ou clown mais regorgeant de bien d'autre talent. J'ai touche ma bille au combat, si vous voulez savoir, aussi. Je me suis même fait le doyen de la caserne de Maichi et c'était un gros balèze. Dieu seul sait si lui et sa garnison vont bien à l'heure où je vous parle. Ahaha!

Sérieusement, là on essaye de patrouiller tranquillement, et ce serai intolérable pour un héros que de voir des innocents (même si ils ont des têtes que ne me reviennent pas) se faire laminer puis dépouiller. J'ai une charmante collègue qui et partie en éclaireuse sur la pente derrière vous, là. En haut, se trouve un refuge. On passera la nuit ensemble et demain matin, vous pourrez partir en toute quiétude. Ca marche, alors?

Le soldat commença à avoir mal aux épaules, et Kabuki fit alors une pirouette arrière pour descendre, laissant son porteur soufflé un peu. Kabuki prit l'air le plus confiant et sympathique qu'il put pour appuyer la sincérité de ses propos et n'attendait plus qu'une réponse.

Fubuki resta quelques secondes sans rien dire. En effet, la demoiselle qui suivait le saltimbanque etait plutot jolie, mais il y avait un truc qui clochait... Il renifla un moment, et comprit ou etait le probleme...

*Elle pue l'alcool a deux metres, je reve...*

Puis il se reprit, et s'approcha de la nouvelle venue, se disant qu'elle avait du boire pour supporter son compagnon de route. Une bonne soirée en perspective... Mais Kabuki avait commencé sa harangue, et il n'en fallut pas plus pour comprendre que ces deux personnes etaient probablement responsables du retard de la releve a Maichi. En effet, cette derniere etait arrivée avec les vetements en lambeaux et deux semaines de retard, se plaignant d'avoir étés attqués par une psychopate, un ours adepte du kung-fu et un clown avec un parapluie.

*La description colle assez bien, surtout si l'histoire de l'ours est vraie. Mais pourquoi ils se vantent de leur statut de rebelle sur un terrain disputé ou ils pourraient croiser des soldats a tout moment (et c'est le cas)?*

Apres une courte reflexion, l'explication tombait sous le sens. Kabuki Danjuro etait soit completement abruti, soit beaucoup trop vantard. A moins que ce ne soit les deux. Mais Keishiro avait commencé a leur mentir, et Fubuki décida de jouer le jeu, le temps de trouver un moyen de les arreter pour opposition a l'autorité du Shgun.

Une jolie demoiselle avec un homme pareil, vous devez surement etre exaspérée. Puis-je au moins avoir votre nom?

Fubuki ne manifestait aucune hostilité concrete pour le moment. Si ils avaient réussi a vaincre une garnison entiere a eux seuls, c'est qu'ils n'etaient pas si mauvais que ca...

Yoko avait remarqué le retroussement soudain des narines de Fubuki quand l'odeur du sake imbibé des pore de la peau de Yoko arriva à son nez délicat, et fut étonné par le ton mieleux utilisé pour le moment, elle préféra mentir, et faire la femme ivre.

On m'appel Barbara, Barbara Gourde! dit-elle d'un ton coquin et joyeux.
Et vous beau blond qui êtes vous?

Yoko marchait en titubant et se dirigea vers le feu pour s'y assoire, aux cotés de ces nouveaux "compagnons"

Keishiro écouta attentivement les paroles de kabuki, bien que pour les trois-quarts des paroles ce n'etaient que des inepties, il arriva à la même conclusion que Fubuki. Des rebelles. Et apparament les responsables du retard de la relève de la garnison de Maichi. Il avait lui aussi entendu parlé de cette affaire, qui de premier bord semblait délirante, surtout avec cette histoire d'ours pratiquant les art martiaux.

** Rien qu'avec ce qu'ils ont dit on pourrai les faire coffrer. Mais s'ils ont réussit à s'attaquer à trois face à une garnison, c'est qu'ils ne sont pas si mauvais qu'ils n'y parraissent. **

Il observa la jeune femme qui était arrivée. Il apercu le changement d'attitude chez elle. Elle passa d'une démarche assurée et une voix presque normale à l'attitude d'une femme légèrement ivre. Et ce clown. Plus que vantard, ça on ne pouvais pas le louper. Mais c'était un comédien. Quelle part de vérité pouvait-on en tirer? Il leur proposait de les suivres à un refuge. Il prit rapidement une decision.

D'accord. On vous suit.

D'un signe, il ordona la levée du camp. Les soldats qui avaient suivit la conversation comprirent la consigne muette que leur transmit Keishiro: " Pas un mot sur notre identitée. "

Fubuki suivit Keishiro sans mot dire. Les deux rebelles semblaient ne se douter de rien concernant leur future arrestation. Fubuki reflechissait au moyen de les duper, sachant que le combat direct rendrait inutile l'avantage du nombre. Les soldat qui les accompagnaient n'etaient pas suffisamment entrainés.

*A part moi et Keishiro, il n'y a pas grand monde qui puisse vaincre une garnison entiere... Yoko semble bourrée, on peut en profiter pour la neutraliser. Kabuki se vante beaucoup, mais je me demande ce qu'il vaut vraiment au combat...*

La marche durait depuis un moment, quand le refuge apparut enfin a l'horizon. Afin de paraitre plus naturel, Fubuki reprit son débat sur les capacités en arts martiaux des ours.

Faut avouer qu'un ours est pas taillé pour le kung fu, mais plutot les styles de combat necessitant des prises, comme la lutte ou le judo, non?

Le chemin sembla de plus en plus long aux yeux de Fubuki. Entre Yoko qui le harcelait de questions sans interet et Kabuki qui semblait s'etre pris au jeu de l'ours shaolin, le QI general chutait vertigineusement.

*Note pour l'avenir: ne plus jouer les abrutis avant de s'etre assuré de la normalité des types a tromper. Bon, je reve ou elle me drague l'autre alcoolo?*

Et bien, je suis un mercenaire, tout simplement. J'ai escorté plus d'une personne, parfois même des filles de nobles, et pourtant aucune n'egalait votre charme...

*Bon, elle pue l'alcool c'est sur. Mais pourquoi j'ai l'impression qu'elleme fait un interrogatoire? Bon, de toute maniere j'ai une chance sur cent de la draguer, et encore moins de coucher avec elle...*

Fubuki soupira devant la situation. Il en etait réduit a essayer d'arreter deux rebelles dans leur sommeil alors que ces dernier pourraient les suivres jusque dans les geoles en croyant arriver au dernier bar a la mode...

*Mais comment ils ont fait pour détourner une garnison entiere?*

A entendre les conversations, Keishiro commencait vraiment à désepérer. Fubuki qui draguait la fille alcoolique, l'autre guignol qui sortait des conneries à propos de l'ours qu'il entrainait aux arts martiaux,... Il sentait que le moment du suicide approchait, et de facon plutôt dangeureuse.

** Je fais quoi? Je les arretes maintenant ou j'attend qu'ils soient endormis? Pour ce que ça change, la première option serait bien plus rapide. Et j'ai bien envie de me barrer d'ici. **

Pendant qu'il reflechissait, la petite troupe approchait du refuge promit par les deux rebelles. Les soldats soupiraient. Ils allaient pouvoir passer une nuit à l'abris, et dormir sous un toit. Keishiro jetta un coup d'oeil à l'interieur. Ca irai pour la nuit. Le toit était un peu défoncé par une tempête recente, mais ce n'était pas trop grave. Il fit signe à ses hommes de s'installer, et en designa un pour monter la garde à l'exterieur.
Keishiro s'installa contre un mur, près de la sortie. En entendant parler les deux reblles, il se demandait de plus en plus comment deux rigolos comme eux avaient pu faire leur fête à une granison entière, qui plus est qui était encore fraîche.