Le camp des Rebelles

Cette mégabase militaire est l'endroit ou l'armée régulière de la résistance se regroupe et s'entraine en vue de combattre le Shogun; la mixité est de base et rien ne ressemble moins a un rebelle qu'un autre rebelle en ces lieux.

C'est ici que toues ceux qui veulent se rallier a la bannière de Shido et Haruka se rejoignent, s'entrainant et s'armant, apprennant l'art de la guerre et du combat...
Mais attention, seuls les gens "réglos" ont une chance de faire carrière; pillez ou violez et vus avez de fortes chances de finir embroché comme un poulet, les rebelles ne tolérant aucune barbarie

Travaille ton gauche! Tend le mieux! Plus droit le poignet! En parallèle avec le coude! Plus fort le droite! Enchaine trois coup! Tac-tac-tac! Recommence!

Depuis maintenant 30 minutes, Kabuki était en train de coacher son ours à travailler ses coups de poings sur le lit d'un des soldats rebelles qui a été plaqué contre le mur à la verticale pour pouvoir y donner des coups de poings. L'entrainement portait ses fruits, le matelas était en train de se trouer et les draps se déchirer en fin lambeaux.

-Euh, pardon...mais, c'est mon lit. J'en aurais besoin ce soir pour dormir.
-Oh! Bien sûr, t'inquiète. Il te sera rendu d'ici là.
-Merci mais...
-Ooooh! Mais tu fous quoi là?
-Graourf...

Kumo profitait que Kabuki était avec le soldat pour mettre le lit à plat et dormir à l'intérieur et se bordant bien. Il en avait décidément marre de cogner et ce truc lui semblait bien moelleux pour ne servir qu'à cogner.

Sort de là, les exercices sont pas encore finis, feignant!

Kabuki tira le drap, laissant Kumo à découvert. Celui-çi tira son drap vers lui pour se recouvrir. Kabuki insista en retirant encore le drap, Kumo continua à a ramener le drap vers lui. Et cela recommença 36 fois.
S'ensuivit alors la colère de Kumo qui voulu boxer Kabuki, qui lui évita les coups grâce des contorsions spectaculaires. L'ours voulu tenter un coup de pied mais Kabuki esquiva facilement en s'éleva au dessus du sol grâce à son parapluie et frappa la tête de Kumo d'un coup de pied chaussé de getta entre les deux yeux de l'animal.
Le coup était efficace, et Kumo s'effondra alors, tomba vers l'arrière en se réceptionna lourdement sur lit.
Le poids de l'ours qui tombait comme une masse brisa les pieds et les lattes du lit et il ne resta plus qu'un matelas de ol tout poussiéreux et cabossé, en grand desepoir du soldat.

Kumo en profita encore pour s'allonger, mais cette fois Kabuki le piqua avec le bout de son parapluie, forçant l'ours à se lever.

Tout à l'heure je t'ai montré ce que c'était qu'un vrai coup de pied. maintenant, tu va devoir aussi travailler tes kicks si tu veux être efficace. C'est comme une ruade mais de face sur une jambe. Allez, cogne! Plus haute, la patte postérieur!

Et l'entrainement reprit alors, tandis que le soldat va devoir se trouver un autre lit sil veut dormir ce soir.

-Okay, vous tenez bien, vous deux?
-Je tient bien.
-Braaaa!
-J'y vais alors. Concentration...action.

Kabuki Danjuro s'entraine alors à la réalisation d'un nouveau tour: l'équilibriste sur une corde à linge en se déguisant en vieille dame porteuse d'eau qui déguste des takoyaki.
Ainsi, il devait marcher sur ce fil en étant courbé et vêtu d'un kimono de vieille dame, avec un gros vase remplis d'eau sur la tête, tout en tenant une boite de takoyaki qu'il devait dégusté avec un cure-dent.
Kumo l'ours (qui avait alors terminer trois d'entrainement aux coups de poings et pieds pour répéter les mouvements d'une contre-attaque circulaire dans le vide) et le soldat qui devait se chercher un autre lit devint tenir chacun d'une extrémités des lances, l'une étant lié à l'autre par une corde à linge très fine, que Kabuki devait traverser entièrement pour ensuite revenir sur ses pas dans la position précédemment énoncé.

Ca fait maintenant 1 heures qu'on s'entraine à ça...vous vulez pas faire une pose?
-Graouh!(Ouais, je suis crevé, moi aussi!)
-Kumo à raison. Vous devez cessez de vous plaindre. Il vous dépassez vos limites physiques si vous que ces dernières augmentent de façon conséquente.
-C'est ce qu'à dit l'ours? Et vous le comprenez?
-Grooow! (C'est faux, je m'insurge. Je n'ai pas de tel propos!)
-Bien sûr que je le comprend. Un maitre doit être apte à comprendre son disciple pour que sa formation soit un succès.
-Warf! Grar! Ourg!(Arrête de mentir à se mec, c'est pas du tout ce qu'ai j'ai dit. Tu sais bien que j'ai dit que je veux arrêter! faudrait peut-être s'interrompre pour le diner.)
-Hmm...c'est vrai que d'un côté, se surmener n'amène rien de bon et l'heure du repas approche.
-Et puis vous avez presque réussi à ne plus renverser d'eau ni faire tomber les boulettes.
-Ahahah! C'est vrai que je ne dois pas forcer mon incroyable talent! Okay, on va se faire plaisir les mecs. *et puis j'ai bien envie de draguer un peu, moi...*
-Ouais!
-Wouhou!( Wouhou!)
-Eh! Lachez pas le...

En levant les bras par enthousiasme, les deux assistants du saltimbanque laissèrent tomber les lances, faisant chuter ce dernier au sol. Le vase se réceptionna comme il faut au sol, et kabuki plongea alors à l'intérieur, ressortant dans la foulée tout mouillé et le paquet de takoyaki dans la bouche.
Avant qu'ils ne sortirent à l'extérieur pour leur ripaille et distraction, il s'ensuivit une course-poursuite ou Kabuki tenta de châtier ses assistants à coups de lance, chevauchant son parapluie en mode "bâton à ressort". Ces derniers couraient le plus vite qu'il put, effrayer, craignant le courroux de bouillonnant tout-mouillé, mais chacun dissimulant une bonne humeur et une complicité caustique.

Mais je vous permet pas dabord, mon vieux. Et puis vous...

Il s'arrêta net en voyant que c'était une ravissante jeune femme qui était devant lui. Petite,mignonne, chevelure noire comme l'ébène , des lèvres pulpeuses, un regard perçant et d'autres détails qui ne sauraient être révélé sans un Kabuki-scope.

Kabuki enleva alors ses vêtements d'un geste, s'essuyant le, corps au passage, révélant alors son apparence habituelle, affichant un sourire charmeur et regard langoureux, bombant légèrement du torse et s'avança en servant de son Mahoteki Kasa comme canne.

Effectivement. Peut-être devrais-je me faire soigné, car mon coeur, en votre présence, ne bat plus à son rythme habituelle. Il adopte le rythme d'une douce sérénade envolée. Bel enfant, pouvez-vous diagnostiquer les, êtes maux qui m'empare. Peut-être est-ce le désir de...

A ses mots, son visage s'était approché du sien, tentant alors de troubler la belle et de la confondre dans ses sentiments et ressentiments.
Kabuki fit une classieuse révérence et se présenta.
je suis Kabuki Danjuro, le dernier de la ligné Danjuro, artiste du spectcacle au talent multiple et nouvel héros de la rebellion. Les malotrus là-bas sont Kumo, un ours dont j'en ai fait mon disciple (ouais un ours...mon disciple, c'est ça) et...je connais pas le nom de l'autre, enifn...
Pourrais-je connaitre le nom du doux maux qui marque mon corps et mon esprit, en l'occurence...le votre, ma belle demoiselle?

*Bon, normalement, après ce genre de truc, elle se laisse fondre. Réponse dans 1, 2...*

J'm'appel Yoko, Yoshito Yoko, et si tu ne veux pas que la lignée des Danjuron s'éteigne bizarrement t'avise pas à t'approcher de moi, sinon je te ferais un massage cardiaque tel que ton coeur en sera foudroyé. Mais tu peux toujours m'inviter a dîner, j'ai la dalle et pas un pessos.

(Le "n" a la fin de ton nom est une erreur d'énnonciation et je crain que cela ne soit à long terme...)

Yoko se releva, assez gênée d'être dans une telle position face à ce qu'on appel, généralement un dragueur en puissance.

Elle revisita son jugement, car elle était aussi en tord car sa sortit n'était pas trés réglo niveau sécurité. Elle retrouva un brin de calme et de diplomatie

Bon, illustre inconnu, veillez pardonner ma conduite, certe je n'ai pas étais trés aimable, je vous propose quelque chose, on rattrape les fous et vous me payez le repas. Faisons nous ainsi?

Hmm, c'est Danjuro...enfin passons. ne vous inquiétez pas, je connais aussi une personne qui, j'en suis sûr, troquerais bien sa diplomatie contre un sabre si elle était de mauavise humeur.

*Et seul Shido sait si un jours je l'aurais...enfin vaut mieux que je compte sur mes propres capacités.*

Tandis son parapluie en direction du centre-ville, réjouit à l'idée d'inviter une fois de plus une compagne dans cette région.

Votre proposition est forte aimable, ma douce amie, mais pour les autres...c'est pas un problème...voyez!

Il inspira alors très fort et se mit à crier de pleins poumons:
KUMO! Ramène ta fraise et celle de ton copain avec toi, avant que je transforme en descente de lit

Kumo revint alors au pas de charge, sur ses pattes postérieures, transportant le soldat rebelle inconnu droit sous son aisselle. Kumo fit un garde à vous, bien droit ainsi que le soldat anonyme, bien que toujours sous l'aisselle de l'ours.

Voilà qui est fait. Mais pour la gentillesse de vos intentions, je vous invite au restaurant quand même. Allons au Shouten Suru. Manger là-bas, c'est littéralement aller au paradis.
*je remercie mes concubines pour m'avor filer l'info...*

Yoko avait remarquée l'oeil lubrique qu'avait prit Kabuki.

*J'aime pas trop l'air qu'il prend va falloir ce méfier de ce psychopate, bouffer à l'oeil OK mais me faire agresser, il peut toujour rêver.*

D'accord,d'accord je vous suis...

C'est sur un tatami aménage pour les entrainements au duel que l'on retrouve Kabuki, arbitrant activement une rencontre entre Kumo et le soldat inconnu. Kabuki était en train de pester après l'ours en brandissant une raquette marqué d'une croix de sa main gauche.

Non! Tu n'y es pas encore! Tu dois plus les fléchir, les genoux, Kumo! Recommence comme avant mais tu fléchis mieux les genoux vers la fin, cette fois, ok? On recommence!

Kumo avance la pointe de son pied droit entre les pieds de son partenaire tout en le tirant de sa main gauche. Kumo pivote vers son arrière-gauche en ramenant son pied gauche, en arc de cercle, derrière lui, en le plaçant au même niveau que son pied droit. Kumo ramène, dans un même temps, son partenaire contre lui en plaçant sa main droite sous son bras gauche, et en le plaquant contre ses reins. Kumo maintient le traction de sa main gauche, ses deux talons sont sur la même ligne, sa hanche droite étant en contact avec le ventre de son partenaire.

Kumo fléchit ses genoux avec le buste le plus droit possible. Il détend ses jambes tout en se penchant vers l'avant et en plaçant son partenaire sur sa hanche. Kumo profite du déséquilibre avant de son partenaire pour le faire basculer autour de sa hanche en le tirant de sa main gauche.

Après cela, Kabuki, sur un air ravis, bondit l'air, extasié, en tendant sa main droite, montrant alors sa raquette où est dessiné un rond. Il tonna alors sur un air de chant de victoire:
Nage Wazaaaaa! Ooooo goooshiiii!

Kumo grogna de satisfaction, levant ses pattes avants en l'air en signe de victoire.

Kumo, tu connais à présent toutes les techniques de Nage Waza (projections) et Katame Waza (immobilisations) du niveau 6eme Kyu. Je te sacre alors...ceinture jaune.

L'instant devint alors une parodie de sacre, Kabuki se tenant droit, bras tenant la ceinture bien tendu, devant un Kumo agenouillé comme un samouraï devant son maitre, prêt à l'adouber. Le tout est baigné d'un halo de lumière blanc, sortant du plafond, pendant que le soldat inconnu était gisant au sol, sur le dos, applaudissant le sacre de l'ours.
Kabuki tint alors, d'un air impérieux, la ceinture à Kumo, qui l'accepta en grand hommage, pleurant de gratitude. Le soldat inconnu se demandant si il n'en faisait pas un peu trop et qu'il manquerait plus que des louages chantés par des prêtresse pour que ça fasse bien cliché.

La curieuse cérémonie terminé, Kabuki sautilla légèrement en direction du soldat et lui murmura:
Eh! J'ai petite surprise pour toi aussi. tient!

A cela, Kabuki fixa d'un mouvement vif un badge sur la poitrine du soldat, où était dessiné un sac de sable avec de yeux et un bandana de karaté. il était écrit "Sparring partner du mois: parce que sans ton corps épuisé, il n'y a pas de progrès possible".
Kabuki souria de toute ses dents,fit un signe du pouce et s'exclama opiniâtrement:

-Par la peine de me remercier, l'ami. c'est normal après toute l'aide que tu nous a apporté. Ahahaha!

Le soldat ne savait pas quoi répondre. Il se contenta de reposer au sol après s'être fait tant malmené, pendant que Kumo s'allonge sur le matelas dépareillé qui appartenant avant au soldat, laissant Kabuki continuer son propre entrainement.

Bon, après le judo, le combat à l'arme. Je vais devoir mieux maitriser mon Mahoteki Kasa ,surtout après l'avoir modifier.

En effet, suite au combat contre le vieux Yamada, son parapluie avait bien souffert. l'armature était tordue et la toile trouvé, l'axe de rotation abimé, le ressort cassé et l'appendice brisé. Kabuki le répara en améliorant chacun des éléments, c'est à dire l'armature plus lourde et résistante, la puissance de rotation, tissu de la toile, tressé avec le tissu anti-intempérie original et de la laine de caoutchouc, un ressort à double extension, un appendice-perceuse en acier, tout droit sortit du forgeron.

Il se posta devant un une série de mannequin aligné posté derrière de gros boucliers épais et des écrans en bois et en pierre.
Kabuki activa alors les options de son parapluie de manière à imité la prouesse de son dernier combat. Le parapluie était plus lourd et plus délicat à prendre en main, mais kabuki est sortit d'un combat qui l'a rendu plus fort et déterminé, et il compte bien maitrisé et produire quelques nouvelles techniques.

C'est partit, mon parapluie! Kabuki Romance Drill!

Sa parapluie, marchant en plein régime, se changea de nouveau en puissante foreuse portative, que Kabuki s'efforçant à utiliser comme une épée à un ou deux mains, portant des estocs à travers le écrans de protection et le boucliers d'entrainements, jusqu'à pouvoir créer des trous béants et atteindre les mannequins dissimulés.

L'entrainement, dura longtemps. il était long, pénible, épuisant, et même douloureux. Constatant au bout de 2 heures que sur dix cibles, il réussit à totalement perforer 4, il se dit qu'il en a pour son compte pour l'instant.
Il essayera de passer au double après avoir piquer un petite sieste, ne se gênant pas alors pour se vautrer sur le ventre de son ours pour s'endormir, le temps de récupérer avant de faire quelques petites activités de "bon aloi" le soir.

En attendant, bonne sieste.

Alors qu'il était train de s'assoupir, le "femell-o-mètre" intérieur de Kabuki réagit et sonna dans la tête du saltimbanque, le prévenant qu'une qu'un spécimen femelle à fort probabilité de compatibilité de batifolages était à proximité.

*Taille...ok - Mensuration...ok! Phéromone...ok- Mensuration...toujours ok! Impératrice Haruka Okami Hayase à 11 heures. Réveille-toi! Réveille toi!*

Kabuki se leva alors en faisait un saut périlleux arrière pour retomber juste devant l'Impératrice, comme si il avait totalement récupéré de ses efforts, s'étant même parfumé , coiffé et blanchi les dents pendant l'instant où il était dans les airs.

Je suis ravis de vous voir toujours en si bonne forme, votre majesté. Ce doit être grâce au confort de la couche impérial qui se trouve dans la chambre du palais. J'espère bien qu'un jour vous daigneriez me la faire visiter. Ahahaha!

Après ces paroles pleines de sous-entendu, Kabuki en vint à répliquer au propos de l'Impératrice.

Aha! Comme vous le voyez, impossible n'est pas Kabuki Danjuro (franchement souviens toi de ça...ahem). Je suis venu dans le plateau du monastère, qui était en train de subir la rage issu de la mélancolie de cet ours.
C'est un être talentueux pour son espèce mais il doit faire des efforts pour se contrôler un peu et un jour, grâce à son potentiel à de nombreux efforts qu'il devra accomplir en suivant mon enseignement, il deviendra un véritable maitre des arts martiaux.

Moi vous savez, je fait pas la distinction entre les gens de mérites et de talents.Les artistes sont tous pareil.
Moi un jour, mon père avait ramené un éléphant de mer pour ma soeur. C'était un véritable enfoiré qui arrêté pas de manger mon gouter. Alors pour l'emmerder, je lui lancé des balles en caoutchouc sur la tronche et comme c'était qu'un gros lard, et bien il ripostait pas et je me disait que je tenais ma vengeance.
Mais un jour, il fit rebondir mes blessures son nez et jongla avec la seule force de sa tête alors qu'on lui encore rien appris. Et ensuite, il a voulu me les renvoyer sur moi mais 10 fois plus fort que je les avait lancé. Bon, même si c'était pour se venger, j'ai trouvé ça tellement classe que je les applaudis et on est devenu amis.
Comme avec l'ogre que j'ai vu une fois lors de cette beuverie pour célébrer la pendaison de la crémaillère de Hattori Hanzo le 1er...non ça c'était dans mon rêve d'hier soir. Mais vous comprenez où je veux en venir, n'est-ce pas?

Ce que je veux dire, c'est que cet ours à une âme d'artiste en devenir, un vrai volontaire de l'effort et du dépassement de soi. Donc, à ce titre, il vaut autant que n'importe quel autre artiste et bénéficie donc de ma tutelle, ce qui est une chance incroyable, non?
Vous qui êtes une grande dame qui sait reconnaitre le mérite des hommes braves, ne voyez vous pas la bravoure et la force qui émane de cet ours?

Kabuki, durant tout le long, avait affiché un air enthousiaste mais fermement convaincu. Son sens de la solidarité familial qu'il avait développé toute sa vie dans la "Danjuro & co" le poussa à ce qu'on reconnaisse le mérite de cet ours.

d'ailleurs, sa participation lors de la "mission égarement " a été d'une grande importance, sans quoi nous n'aurions jamais put l'emporter, Yoko et moi, sur ce terrible vieillard qu'était Yamada, doyen de la caserne de Maichi. Vous connaissez? Un vieil homme plein de rhumatisme en tenu de kendo avec son nom dessus, qui se bat avec un sabre de bois et qui arrive à réalisé des attaques époustouflantes à base de concentration d'énergie dans son arme. Il aurait put nous tuer tout les trois d'un coup, d'ailleurs, si il avait était plu jeune. j'aimerais bien d'ailleurs savoir comment il a sut maitriser de tel technique...

Ren arrivat à l'entrée du camp des rebelles. Avant d'entrer il sortit une petite flasque et en but le contenu avant de la reboucher et la ranger.

*Bon... C'est plus le moment de reculer...*

Après avoir cherché pendant plusieurs minutes et avoir demandé plusieurs fois son chemin en route à des rebelles qu'il avait croisé, Ren finit par trouver le bureau d'inscription.

Il y' avait un petit bureau, et derrière ce bureau, un homme était occupé à la paperasse. Il se redressa quand Ren passa la porte et le toisa. C'est vrai que Ren avait plutot l'air mal en point, les vêtements troués ou déchirés, il avait longtemps marché pour arriver ici, il ne s'était pas lavé depuis deux jours, et n'avait guère mangé non plus. Il s'approchat du bureau.

"Bonjour... Je viens d'arriver en ville... Je voudrait m'inscrire dans la rébellion et servir l''impératrice Haruka Okami Hayase..."

L'homme semblait étonné, mais après tout, ils leur fallait le plus de volontaires possible, il sortit un papier et prit un crayon.

"Nom, Prénom, Age et je supose qu'il vous faut une arme?" Dit-il en pensant qu'il s'agissait encore d'un paumé qui pensait qu'entrer dans la rebellion c'était les vacances.

"Ojo Ren 19 ans, pour l'arme ça ira" Dit-il en dégainant son sabre et le posant sur le bureau.

Le secrétaire finit de remplir la fiche et donnat à Ren la clé de ses quartiers et lui indiqua comment s'y rendre. Ren le remercia et se dirigeat vers ses quartiers.

Mais comme il était très bien réveillé n'ayant pas dormit il se perdit comme d'habitude dans les nombreux couloirs des dortoirs.

- *Shido-dono, débarassez m'en ou foudroyez-le pour qu'il la ferme et qu'il retire ses yeux de ma poitrine avant que je ne craque...*


Kabuki était peut-etre un super artiste, mais le fait qu'il pense avec son entrepatte et qu'il se la raconte encore plus qu'une légion de pirates suffisait personellement a mettre Haruka sur ses nerfs d'une facon impossible a décrire; elle qui adorait les types calmes... Mais vu qu'il valait mieux éviter de le frustrer, vu que ses alliés se comptaient sur les doigts de la main, il s'agissait de se débarasser de cette machine a blablater et a copuler en douceur... Et heureusement, quelqu'un passait a ce moment-la; un jeune engagé qui sortait de la caserne... Avec son supercerveau a sales coups et a cheveux roses, Haruka élabora un plan rapide.


- Oh, Kabuki! Rendez-moi service et faites visiter les environs a notre nouveau soldat, il a l'air perdu et j'ai une réunion sur le feu! Vous me narrerez les péripéties de Kumo et vos extraordinaires aventures a un autre moment! Au revoir! Gardes, nous repartons!
*Vite avant qu'il réponde.*

(-dono : suffixe très respectueux employé pour parler d'un noble ou d'un très haut dirigeant. De nous jours, il n'est plus utilisé que par les hautes sphères de l'aristocratie japonaise ou en vieux japonais. Seuls Jin et Haruka l'utilisent pour le moment : Haruka l'utilise parce qu'elle est dirigeante et Jin parce qu'il est très vieux)

...au fait j'aurais voulu savoir où je pourrais trouver un...

Il ne put terminer sa phrase, l'Impératrice devant se dépêcher à partir à une soi-disante réunion.

*J'ai jamais vu quelqu'un tracer aussi vite pour de l'administratif.*
Je vous dit a plus tard, votre majesté! Merci d'avoir prêté votre impériale oreille attentive!

l'impératrice étant maintenant bien loin, il dut se résoudre à devoir mener meilleure investigation pour connaitre l'entrainement de Yamada. Puis, comme Haruka l'avait remarqué tout à l'heure, il y avait un nouveau dans la caserne, qui effectivement, ne semblait pas vraiment réveillé.
Kabuki n'ayant pas non plus en tête de faire la visite à un nouveau, il le regarda fixement pendant plus de vingts secondes rien dire, le temps de l'intégrer dans sa perception de monde qui l'entoure.

Ceçi était fait, il prit alors son air déluré habituel, lui fit une grosse tape dans le dos, supposé être sympathique, et ria:
Alors vieux, on a pas pris son bol de riz et son thé, ce matin. T'as une mine triste, j'imagine que tu doit être crevé.
J'me présente, je suis Kabuki Danjuro. Eh oui, Danjuro, comme la troupe de crique "Danjuro & co". Je suis de mon état un super-artiste polyvalent et un héros de la rébellion en devenir. Je me bats pour la liberté de l'art, des loisirs, en bref, contre le cloisonnement et la régularisation des esprits qui ne demandent qu'à s'envoler et murir librement (et aussi parce que l'Impératrice est mieux roulé qu'un sushi).
Et le gros mammifère poilu que tu vois là-bas allongés, c'est Kumo, mon disciple. Il ambitionne d'être un jour un grand maitre d'art martiaux et je dirige sa formation pour que cela soit une réalité. Si t'as envi de t'entrainer, n'hésite pas à faire partenaire avec lui, il adore ça!

Et toi, qu'est-ce que t'as à dire sur ton compte? j'attend ta présentation!

Eh non! Je sais pas où se trouve la salle 4 parce que je dors pas içi mais chez mes courtisanes. Mais il est clair comme de l'eau de roche que t'as l'air déjà motivé...

Kabuki, qui ne se gênait pas être familier avec le premier bon petit gars qui lui passait sous le bras, mis sa main sur l'épaule du la jeune recrue, l'air le plus sympathique possible. Il lui en profita pou lui filer un bon de papier.

Ecoute, comme t'es nouveau, fait moi plaisir: lave-toi, va te changer, et donne cet avoir au resto Shouten Suru. ta va manger là-bas à mes frais, draguer de la gonzesse pour te gonfler à bloc, et après t'ira voir Kumo pour t'entrainer si tu veux. Tient tu sais quoi, t'a l'air d'un gars de confiance et Kumo doit fréquenter plus de rebelle en devenir comme toi, alors je te le laisse le temps que de revenir de ma nouvelle mission. Fais gaffe, il a déjà un bon niveau en combat à main nu et en judo. Salut! A plus tard, Kumo!

Sur sse mots, il sortit rejoindre l'extérieur, pour confirmer une nouvelle mission, dans l'espoir d'être cette fois seul avec Yoko.

Kabuki, lui dit qu'il ne dormaiot pas ici et qu'il ne pouvait pas l'aider. il lui proposa ensuite de passer du bon temps au frais de ce dernier, après s'être douché et changé. Il lui dit aussi qu'il pourrait s'entrainer avec l'ours, nommé Kumo, si il le voulait. Après tout ceci dit, Kabuki partit et Ren resta planter là, se grattant la tête.

*POurquoi partout où je vais je me choppe tout les barj... Ba il doit pas avoir mauvais fond... *

Après s'êtres longtemps balader dans les couloirs, Ren trouva les douche et en profita pour se laver et se changer. Il se dirigeat ensuite vers la sortie du camp, plus précisément vers ce fameux restaurant appellé le Shouten Suru.