[ACCEPTE] Furuya Shuuji, Rebelle

Nom: Furuya

Prénom : Shuuji

Sexe : M

Age : 19 ans

Métier: Rebelle

Caractère : Calme et froid sont les maître mots pour décrire Shuuji. Parler n’était pas ce qu’il faisait de mieux, il ne parlait déjà pas beaucoup lorsqu’il était enfant, et encore moins lorsque son maître lui a appris le proverbe « Les petits chiens aboient toujours plus que les grands ». Depuis qu’il est Ronin, Shuuji est devenu indépendant et peut mieux croire en ses convictions sans que d’autres ne viennent donner leur point de vue. Cependant, malgré son âge et sa maturité, Shuuji a encore l’esprit trouble, le cœur hésitant dans certains cas. Doit-il toujours croire en ce qu’il croît ? ou croire en cette force qui lui est supérieur ?

Aspect physique : Un brun aux regard ténébreux, un petit corps long et svelte. Ses vêtements laisse paraître sa musculature et permet à quiconque de remarquer qu’il n’est pas gâté par la Nature. De vue, n’importe quel gros gaillard en viendrait à le sous-estimer et… ils ont parfois raison.

Arme : Un sabre long dont le manche est bleuté et… (j’développerai)

Histoire : Depuis peu, je fais des rêves étrange… un rêve où Père est là, un rêve où Mère est là, un rêve où ces deux pirates sont là, un rêve où… Kaoru est là…

Tout commence, à chaque fois, par l’acclamation d’un public pour ce garçon. Et moi je le regarde avec l’innocente admiration d’un enfant de trois ans. Mais ce garçon, plus je l’observe, plus on dirait mon frère… et plus je me dis que c’est mon frère, plus la jalousie ronge mon cœur.
Père lui porte toute son attention, et Mère porte toute son attention à Père. De toute façon, elle n’est qu’une prostituée, je l’ai compris trop tôt en la voyant dans les bras de ces autres hommes.
- Que faites-vous derrière cette arbre à guetter votre frère, Shuuji-kun ?
Même si je m’attend toujours à ce qu’il intervienne lui, j’arrive toujours à être surpris. Il s’agit en fait de mon Maître, celui qui m’aura appris à porter le sabre. Plus qu’un père, il m’enseigna la vie. Il était grand et robuste, son bras droit lui manquait et bien qu’il était droitier, il restait dangereux. Le jour où il me sauva de bandits le prouva. Cette scène au village me marqua beaucoup : Les bandits narguaient Maître parce qu’il avait un bras en moins…
- Les petits chiens aboient toujours plus que les grands, a-t-il dit avant de les calmer.
Je me retourne alors et atterris dans un vaste jardin fleuri, une nuit où les nuages ne sont pas. Une fille assis là, au bord d’un ruisseau. Et la discution commence toujours de la même manière.
- Tout les jours…
- Hein ?
- Je te vois assise ici chaque jour, la nuit.
- J’suis malade…
Le jour est soudainement là, et elle, elle est là, couchée sur son futon, la peau chaude couverte de lésions et je ressens à ce moment là, deux sentiments, d’abord celui de l’impuissance, puis celui qui est ambiguë, celui douloureux et agréable en même temps.
- Je trouverai le moyen de vous sauver Kaoru Furuya, restez en vie s’il vous plaît.
Le sol s’écroula sous mes pieds, me faisant couler dans de l’eau. Je me débattais pour remonter en surface, et alors que j’eus réussi à atteindre la terre ferme… j’étais au port, où le bateau pirate à accosté. Une bataille fut rage et je fus écarté encore une fois par mon Maître.
Les cadavres infestaient les rues, les pirates ont étés exterminés, nul n’a survécu… c’est ce que je croyais avant de remarquer ces deux jeunes garçon cachés.
- Hé…
- Oh non ! Repéré !
C’était le moment pour moi d’être remarqué dans le village, j’avais retrouvé les derniers survivants pirates. Les grands me féliciteraient pour ce travail et je serai un peu plus reconnu… Je dois les capturer et les dénoncer…
- Allez vous en… La garde impérial arrive…
- Notre bateau a été coulé . Tu voudrais qu’on parte où ?
- Suivez moi, rapidement, discrètement, à pas d’assassin où vous êtes morts.
Je les menais vers un petit bateau, un bateau de pêche. Ils montèrent et je coupais les cordes rattachant le bateau au port avec un sabre pirate qui traînait par terre. La dernière image que j’ai d’eux, c’est leur sourire et leur poing brandit vers moi et leur voix résonnant… « Kusano Haïji… », « Miyoshi Shirosagi »…

- Tu as aidé des pirates ?!, cria mon Père.
- …
Je tournai mon regard vers mon grand frère et voyait son mesquin regard. Ca me donnait envie de tout détruire. Je fus renié de la famille. Shuuji Fujishiro n’existait plus désormais.
Puis j’entend cette voix…
- Petit… Quel est ton nom ?
- Furuya… Furuya Shuuji.

But : La force, montrer que son corps peu musclé est trompeur, et trouver le meilleur des guérisseurs pour sauver sa Princesse.

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